Archives par mot-clé : organisation

Reprendre le travail sans suspendre l’allaitement

Ma reprise de travail approche, mon bref congé parental de 2 mois à l’issue de mon congé maternité vient de se terminer. Notre situation financière et le développement de ma carrière professionnelle m’obligent à reprendre très vite mon poste à 100 %. J’ai la chance de pouvoir prendre quelques jours de vacances pour me projeter et décider de la suite de mon allaitement.

Mon bébé a bientôt six mois ; j’ai déjà réussi à faire face à de nombreux obstacles. La reprise du travail représente pour moi une véritable source de stress : je suis envahie par de nombreuses questions et en même temps profondément motivée et convaincue que je ne dois pas abandonner l’allaitement. 

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Je suis bilingue en allaitement

Voici le témoignage de Claire, maman de deux enfants.

J’ai 7 ans, je viens d’emménager en Allemagne avec ma famille, et je passe un test de niveau de langue. Je dois préciser si j’ai identifié tel ou tel mot d’allemand dans l’enregistrement que je viens d’écouter. Aucune idée. Ce que j’ai entendu était une longue suite de sons indifférenciés et incompréhensibles.

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Une maman nous raconte son allaitement en vacances

Mon compagnon et moi sommes partis en vacances à la montagne avec notre Petit Loup de 14 mois, allaité. Ces vacances ont été très joyeuses et l’allaitement, ainsi que la DME ( Diversification Menée par l’Enfant ), ont largement contribué à faciliter notre organisation : pas de poussette (vu la destination, portage “obligé” – quelle douce obligation !), pas de biberon, pas de petits pots, pas d’horaires fixes: une tétée pour s’habituer au nouvel environnement, des tétées pour attendre les repas, d’autres pour soigner les petits bobos de la vie en plein air. Nous nous sommes mis aux rythmes les uns des autres, oubliant les contraintes de la vie active. Après une année marathon, nous avons enfin pu dormir (cododo et allaitement ou comment ne pas se réveiller de la nuit et faire des nuits de 10 h à 12 h pendant 15 jours !).

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Choisir d’allaiter et impliquer le papa

Le choix de l’allaitement – maternel ou artificiel – est au cœur des préoccupations des femmes enceintes en France. Ce choix ne coule pas de source et n’est pas toujours simple. Parmi les inquiétudes généralement évoquées par les femmes figure la question d’accorder une place au père si elles choisissent d’allaiter leur enfant.

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Mon bébé souffre de dysoralité

L’équipe de rédaction du blog allaitement a recueilli le témoignage de Sonia, maman d’une petite fille qui présente une dysoralité. Cette maman a mené un véritable combat pour sauver son allaitement et permettre à son bébé de vivre. Après une première grossesse heureuse, la seconde a été tout à fait différente, jalonnée de nombreux défis et de fatigue. Son bébé est né avec un retard de croissance in utero et elles ont passé une longue semaine de surveillance en néonatalogie avant de rentrer chez elles. Dès la naissance, la petite a eu des difficultés à prendre le sein. Sonia a connu de nombreuses complications liées au problème de succion de son bébé dont les origines étaient le frein de lèvre supérieure de type 2 et le frein de langue sous muqueux de type 4.

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Le portage et moi : une belle histoire d’amour

J’ai effectué dernièrement  une journée de formation continue sur le portage. Elle m’a donné envie de vous faire un clin d’œil et de partager avec vous mon expérience personnelle du portage en écharpe. Pour cela, il faut remonter à une dizaine d’années.

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L’alimentation, un chemin de croix pour Victoria

Myriam Dutilleul, mère d’Élisa, Marion et de Victoria,  a consacré 3 années à soutenir bénévolement des mères qui allaitent par le biais de l’association La Leche League.   Elle évoque pour nous l’arrivée de sa fille Victoria, très grande prématurée et son combat pour la nourrir avec son lait.

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Histoire de «bouts de sein» et allaitement long… si si: c’est possible !

C’est l’histoire de Cathy* et de Manon*… Après une grossesse et un accouchement difficiles, Cathy est heureuse d’accueillir sa fille Manon. Les premières 24 heures, le nouveau-né dort puis, lors de la deuxième nuit, ne fait que pleurer, ne tète pas. La fameuse « nuit de la java », pense Cathy qui est épuisée et a les seins très durs. A 3 heures du matin, le personnel de la maternité prend alors en charge le bébé. Cathy s’endort d’épuisement. Le lendemain, Manon dort à nouveau à poings fermés. La maman met son bébé en peau à peau et Manon essaie alors de téter mais n’arrive pas à saisir le mamelon. Les soignantes conseillent alors à Cathy d’utiliser un « bout de sein » en silicone. Au 4ème jour, Manon a une courbe de poids descendante mais le pédiatre autorise tout de même la sortie de l’hôpital demandant de revenir 2 jours plus tard pour que le bébé soit pesé.

A domicile, Cathy a loué un tire-lait, mais c’est un modèle qui a plus de 30 ans et elle n’extrait que quelques gouttes de lait. Manon tète avec le « bout de sein » mais, au bout de 2 jours, elle n’a presque pas pris de poids. Cathy décide alors de consulter une spécialiste de l’allaitement. Celle-ci lui explique qu’il faut faire une relactation. Elle lui prescrit un tire-lait adapté et lui donne les conseils nécessaires. Au début, Cathy tire très peu de lait (5ml à chaque sein). Puis, de plus en plus. Elle complète Manon avec ce lait tiré à l’aide d’un DAL c’est un dispositif d’aide à la lactation. Le nourrisson reprend du poids doucement. La consultante en lactation tente à plusieurs reprises, avec la maman, de faire téter Manon sans « bout de sein ». Mais c’est impossible. Le bébé semble s’être habitué à téter de cette manière.

Cathy est extrêmement fatiguée. La relactation n’est pas facile et cela lui prend beaucoup de temps. Pourtant elle tient bon pour son bébé, elle veut réussir son allaitement coûte que coûte. Elle a un projet d’allaitement long, 6 mois en exclusif et au moins jusqu’à 2 ans. Elle s’est renseignée durant sa grossesse et suit les conseils donnés par l’OMS. Elle télécharge également les courbes de poids des bébés allaités sur le site de l’OMS. Son épisiotomie la fait souffrir, elle mange debout, en allaitant, dort très peu car elle suit les rythmes de son bébé qui tète souvent et fait des micros siestes (jour et nuit).

« Comment vais-je tenir ? », se demande-t-elle. Heureusement, son mari a trouvé sa place et s’occupe de toutes les tâches ménagères ainsi que des courses et des repas, malgré son travail posté. Il fait du peau à peau pour que sa femme puisse un peu se reposer et tirer son lait. Cathy a un cercle d’amies et une mère qui la réconfortent. Une puéricultrice de la PMI vient régulièrement soutenir la petite famille qui rencontre également la consultante en lactation tous les 2 jours au début. Les consultations peuvent s’espacer quand Manon reprend du poids.

Tout se met petit à petit en place. A 6 mois, Manon commence à avoir une alimentation diversifiée. C’est une petite très éveillée qui aime être en portage, tout contre sa maman. Cathy a lâché prise et n’essaie plus d’enlever le « bout de sein » étant donné que Manon prend bien du poids.

Le temps passe… l’objectif de la mère est atteint : la fillette a 2 ans et est toujours allaitée.

 

Le temps passe encore, Manon à 3 ans. Elle tète matin et soir, dans sa chambre, au calme.

Puis elle a 4 ans, elle continue à téter toujours avec les « bouts de sein » à l’abri des personnes qui interrogent sa maman : « tu l’allaites encore ? ». Manon a bien compris qu’il ne fallait pas demander à téter quand il y a des gens, que c’est mieux dans son lit quand elle se réveille ou le soir pour s’endormir.

 

C’est quand elle a 5 ans que sa mère (suite à la prise nécessaire d’un médicament contre-indiqué avec l’allaitement et ayant fait la part des choses) doit la sevrer. Cathy l’endort alors durant quelques temps dans ses bras pour que cela se fasse en douceur et pour garder ce contact.

Cathy est fière de son allaitement, fière d’avoir tenu bon. Elle est certaine d’avoir donné le meilleur à son enfant, « sûre que cela valait le coup », dit-elle.

Manon a neuf ans aujourd’hui et Cathy se souvient :

« Ma fille n’a pas eu de gastroentérite, pas d’otite, ni de bronchiolite. Il y a un lien fort entre nous, une grande complicité. Parfois, elle voudrait encore téter car elle en garde un souvenir apaisant ».

Manon a toujours été sous surveillance médicale pour éviter une prise de poids faible, conséquence de l’utilisation ” des bouts de seins”.

*pour préserver l’anonymat, les prénoms ont été modifiés

[Auteure] : Carole

[Biographie] : Carole est puéricultrice. Elle est titulaire d’un DIULHAM (Diplôme Inter Universitaire en Lactation Humaine et Allaitement Maternel).

 

Jamais sans mon tire-lait !

Quand Victoria est née, je ne me faisais pas de souci par rapport à l’allaitement. J’avais déjà allaité les deux grandes, Marion et Elisa, pendant 6 ans, les remarques du style « tu risques de ne pas pouvoir l’allaiter », je ne les ai pas écoutées. Seulement, Victoria est née à 26 semaines d’aménorrhée avec un poids de 690g et une grande fragilité pulmonaire, ce qui impose beaucoup de soins pour un tout petit être en réanimation.

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La place du père dans la consultation d’allaitement

Je suis heureuse que les (futurs) papas viennent en consultation avec leur compagne, du coup je les implique d’emblée dans le projet d’allaitement. Mes explications, mes suggestions, mes « Attention, drapeaux rouges » leur sont destinés tout autant qu’à celle qui va allaiter.

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Le père et l’allaitement : ensemble dans la « breastfeeding team »

Lorsqu’une maman ou future maman me sollicite, j’invite son partenaire à se joindre à elle, et je suis heureuse de compter un certain nombre d’entre eux en consultation, dont certains prennent sur leur temps de « RTT ». Tout le monde sait que si le papa est « pour » l’allaitement, et qu’il « soutient » sa compagne, ça marchera mieux, plus longtemps, et que les difficultés ont plus de chances d’être dépassées. Mais ça va beaucoup plus loin ! Avant de vous décrire pourquoi et comment l’on peut et devrait inclure le papa dans la « breastfeeding team* », permettez-moi de vous raconter quelques petites anecdotes.

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Le tire- lait et Magalie

Aujourd’hui, j’aimerai partager avec vous l’histoire de Magalie et Marie.

Magalie a su tard qu’elle portait un enfant, elle était déjà enceinte de sept mois. Elle attendait ce moment depuis cinq ans et désespérait presque de pouvoir tomber enceinte.

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Le label IHAB, connaissez-vous ?

Le label IHAB a été attribué pour la première fois en France voilà maintenant 15 ans. Créer un label, c’est d’abord appuyer une volonté de s’inscrire dans une démarche qualité, créer un référentiel de valeurs. C’est vrai pour un certain nombre de produits de la vie courante et c’est le cas aussi pour les maternités. Étonnant penseront certains, rassurant estimeront d’autres.

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Les secrets du tire-lait révélés #2

Dans notre dernier article, nous avons passé en revue les informations à avoir à l’esprit quand on veut choisir le tire-lait adapté à nos besoins. Au-delà du matériel, ce sont des astuces physiologiques qui vont aider les mamans à avoir plus de lait. Voici les conseils de Françoise Coudray, consultante en lactation IBCLC.

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Les secrets du tire-lait révélés #1

Il existe différentes raisons d’utiliser un tire-lait, notamment:

  • Démarrer et/ou maintenir une production de lait lorsque l’enfant ne peut pas téter au sein ou bien qu’il ne parvient pas à téter efficacement au sein (lorsqu’il est prématuré, hospitalisé, affaibli, et plus généralement  séparé de sa mère),
  • Augmenter une production de lait insuffisante ou devenue insuffisante par rapport aux besoins du bébé, relancer une production après un sevrage,
  • Créer une banque de lait pour la reprise du travail ou des études, voire pour donner du lait à un lactarium
  • Prévoir du lait pour des absences occasionnelles ou bien en prévision d’une chirurgie programmée
  • Exprimer du lait lorsque l’on doit prendre un traitement médical réellement incompatible avec l’allaitement pour maintenir la lactation le temps nécessaire.

Le choix du modèle de tire-lait dépend ainsi de l’objectif maternel. C’est un sujet d’appels récurrents qui mérite un article à lui tout seul. Ce sujet expose au grand jour l’une des plus grandes inquiétudes des mamans à savoir : comment avoir plus de lait.

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Une petite réflexion sur le Devenir Parent (épisode 2)…

Dans notre article précédent , nous avons mené une réflexion sur le Devenir Parent centrée sur les besoins fondamentaux du bébé. Beaucoup d’entre vous ont sans doute rétorqué mentalement : « C’est bien beau, et les parents dans tout ça »? Voici donc la suite de ces réflexions.

Quand elle devient maman et au cours des trois premiers mois, la nouvelle mère est concentrée quasi corps et âme sur son bébé. C’est ce que Donald Winnicott appelait « la préoccupation maternelle primaire 1». Le papa a quant à lui un rôle tout aussi essentiel puisqu’il entoure et protège sa famille en formation. Il est important que les deux parents sachent à quoi ils peuvent être confrontés – même si on ne peut pas être préparé à tout, qu’ils se soutiennent.

Vous aurez sûrement moins d’énergie dans les premiers mois pour sortir, répondre à des invitations, inviter du monde, ou tout au moins vous n’aurez probablement pas la possibilité de récupérer de la même manière…

Que l’on allaite ou pas, un petit conseil pratique avant d’accoucher, préparez-vous des petits plats d’avance durant votre grossesse que vous mettrez au congélateur pour avoir moins de travail à l’arrivée du bébé. Dans le même esprit, si votre entourage vous demande de quoi vous avez besoin, demandez des repas tout prêts (ou de l’aide pour le ménage, la lessive).

Un autre moyen pour que les parents tissent des liens forts et sécures avec leur enfant est le massage des bébés ; un outil fantastique. Si celui-ci est fait dans le respect de ce petit être (conditions, disponibilité du bébé et des parents, température, etc.), il permet d’une part de renforcer le lien d’attachement mais aussi de favoriser la formation de la myéline des neurones ce qui permettra à l’influx nerveux de passer plus vite2 ! N’hésitez pas à apprendre à masser votre enfant. Le massage des bébés n’est pas une habitude spontanément ancrée dans notre culture française mais c’est à nous de le mettre au gout du jour et de le transmettre. Pour apprendre, vous pouvez contacter l’association internationale de massage bébé et sa filiale française l’AFMB . Je vous y encourage vivement : osez le toucher bienveillant avec votre ou vos enfants !

Passons maintenant au sujet épineux du sommeil de votre bébé ou plutôt abordons quelques éléments de réponse à cette question cruciale que l’on vous pose dès la maternité. « Est-ce qu’il fait ses nuits ? »

Il faut savoir que physiologiquement le nouveau-né n’est pas fait pour faire des nuits de douze heures. Souvent, j’aime préciser aux parents qu’une nuit pour un bébé est un intervalle de cinq à six heures entre deux réveils. Du coup ça rassure souvent les parents sur le sommeil de leur enfant même si celui-ci se réveille toutes les deux heures.

Certains bébés sont capables de faire de grosses nuits ou presque. Mais, entre nous, sachez qu’ils sont rares ou bien, comme je le dis aux parents, on ne sait pas ce qui se passe chez les autres, (laisser pleurer ou omissions volontaires de certains faits par peur de la critique).

Il peut aussi y avoir des bébés qui dorment beaucoup pour ne pas dépenser d’énergie supplémentaire. Je pense à des bébés qui ne mangeraient pas « assez » (prise de poids lente ou inexistante). Pour ce dernier cas mon premier conseil aux parents est de proposer régulièrement le sein au bébé et donc de fractionner ses nuits qui de fait sont trop longues…

Quand les nuits sont très hachées et que les parents n’en peuvent plus, je leur conseille souvent d’adapter leur lit en observant des règles de sécurité élémentaires pour pouvoir faire du cododo même s’ils n’étaient pas favorables à cette pratique au départ. J’insiste sur le caractère temporaire de la solution. Car si jamais les parents s’endorment d’épuisement, il est de toute évidence préférable que la sécurité optimale ait été prévue pour un sommeil plus serein de toute la famille. Je rappelle que l’UNICEF recommande le cododo et en explique très bien les critères de sécurité. Et ce n’est pas que pour les autres… Cela peut prendre la forme d’un matelas ou d’un lit d’appoint dans la chambre du bébé.

De plus il est important au cours des premières semaines que la maman se repose dans la journée, qu’elle s’accorde des petites siestes, qu’elle se couche assez vite le soir si bébé dort, etc. pour récupérer de l’accouchement, et également pour compenser les nuits entrecoupées.

Petit à petit le couple reprendra ses marques et la vie familiale va trouver son nouvel équilibre. Un équilibre à trois avec toujours et pour plusieurs années la responsabilité de veiller sur votre bébé.

Au fur et à mesure vous équilibrerez vos différentes fonctions d’homme et de femme, d’amoureux – amoureuse, et vos fonctions parentales…

Puis si vous faites le choix d’avoir un autre petit, vous aurez encore cette tâche de rééquilibrer votre famille, mais vous saurez un peu plus à quoi vous attendre !!

Avoir un enfant est un cadeau de la vie et souvent nous permet de découvrir tout un tas de choses sur nous-même. Faites-vous confiance, rechercher de l’aide là où vous aurez des oreilles attentives et empathiques. N’en dites pas trop aux mauvaises langues. Et même si cela peut parfois être pesant, rappelez-vous que vous êtes la figure d’attachement de votre enfant (sa référence)…

1. D. Winnicott, « Le passage de la dépendance à l’indépendance dans le développement de l’individu », dans Processus de maturation chez l’enfant, op. cit. p. 45.

2.Field T., Preterm infant massage therapy studies: an American approach ». Semin Neonatol. 2002; 7(6):487-94

 

Suggestions de lectures pour en savoir plus

Entre parent et enfant, Haim Ginott, L’atelier des Parents (2013)

Grandir avec ses enfants, Nicole Prieur, l’atelier des parents (2014)

Clémence Gricourt, consultante en lactation IBCLC, instructrice en massage bébé AFMB/IAIM, monitrice en portage AFPB et animatrice d’ateliers de communication parent-enfant.