Archives de catégorie : Allaitement long

allaiter au rythme de la vie d’artiste

Je suis Malvina, comédienne et maman de 2 enfants de 5 ans et 10 mois. J’alterne des temps de chômage et des périodes de travail très intenses avec des journées de plus de 12h, parfois hors du domicile pendant plusieurs jours ou semaines. L’allaitement est donc rythmé par ce mode de vie un peu particulier.

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Mon allaitement ou la puissance de mon instinct

Merci à Juliette, 27 ans, maman d’une petite Lise, pour son témoignage.

Maman d’une petite fille de 20 mois (déjà), j’ai vécu de grands chamboulements depuis sa naissance. J’ai souffert d’une dépression post-partum, qui a ensuite laissé place à une très longue et profonde « matrescence ». Des mois compliqués au cours desquels j’ai eu du mal à être en phase avec moi-même et mon entourage. Mais si je me suis posée mille et une questions – et que je m’en pose toujours d’ailleurs -, il y a bien un sujet sur lequel je n’ai jamais douté : je souhaitais allaiter mon enfant, et le faire aussi longtemps que chacune de nous y prendrait du plaisir.

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Témoignage authentique d’un allaitement dit long

Témoignage de Florie, sage-femme libérale, maman de 2 enfants. Elle tient à accompagner les jeunes mamans , libérer la parole sur les difficultés et la pression que les mamans doivent supporter.

Dès le début de ma première grossesse, j’ai su que je voulais que mon bébé soit allaité. La première tétée a été magique, encore au coeur de l’émotion de l’accouchement, de cette découverte incroyable du visage de son bébé, de sentir son petit corps sur mon ventre et non plus dedans. Et la jolie surprise de découvrir que l’on venait d’accueillir notre première petite fille. La tétée de bienvenue s’est très bien passée, la miss a tétée dès le début comme une chef. J’ai la chance d’avoir eu deux allaitements qui ont démarré sans difficulté. Dès les premiers jours j’ai pu profiter de mon bébé collé à moi et lui offrir les tétées à volonté sans appréhension. Sans me fixer d’objectif ou de limites, je me disais que ce serait difficile pour moi si l’allaitement devrait s’arrêter avant 6 mois. Cette période est passée à tout vitesse et nous voilà à fêter le demi anniversaire de la princesse. La question du sevrage ne s’est pas posée. Tout se déroule si naturellement que je me suis mise à rêver d’un allaitement de 9 mois, puis pourquoi pas un an ?

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Caries précoces chez un jeune enfant allaité

La docteure Muriel Mermilliod, consultante en lactation IBCLC, formatrice en allaitement maternel, accompagnante Biological Nurturing© et chirurgien-dentiste est l’une des spécialistes françaises de la lactation humaine et de l’allaitement maternel. Elle a créé Lait’xcellence formation pour accompagner les professionnels dans leur projet de soutenir les mères allaitantes. Elle accompagne également quotidiennement les mères en consultation d’allaitement en Guadeloupe notamment. Elle nous parle aujourd’hui des caries du jeune enfant.

Une incisive qui se casse non loin de la gencive, presque comme si on l’avait sciée, une autre qui s’abîme avec une zone paraissant toute molle, jaune ou plus foncée et tirant vers le marron, des surfaces et tâches blanchâtres comme de la craie aux contours friables : vous voilà complètement déroutée et inquiète devant l’apparence des dents de votre enfant.

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Le sevrage « naturel » ?

Claire, maman de Pia et de Lou.

Autour des deux ans de ma fille aînée, il y a eu un moment crucial où j’ai pris la décision de la sevrer de nuit. J’avais dépassé mon seuil de disponibilité nocturne. Depuis plusieurs semaines les réveils s’étaient de nouveau multipliés, si bien que j’allaitais ma fille la nuit à la même cadence que celle d’un nouveau-né. J’ai eu l’impression d’être ce hamster qui tourne indéfiniment dans sa roue, et j’ai réalisé que je n’y trouvais plus de joie. Du tout.

Pourquoi est-ce que je m’infligeais ça ? Pourquoi persévérais-je à partager mon corps épuisé alors que je souhaitais de tout mon cœur retrouver un peu d’intimité ?

Jour après jour, mois après mois, l’allaitement long avait nourri à la fois mon bébé et mon estime de moi. Je me sentais compétente, généreuse, nourricière et j’aimais vraiment cette relation de corps à corps avec mon enfant. Jusqu’à ce que j’ose regarder en face mon découragement. Comme un zombie, je soulevais automatiquement mon tee-shirt plusieurs fois par nuit pour donner le sein. J’étais devenue une machine. Subitement j’ai recontacté mes propres désirs, mes limites, et j’ai réalisé que je m’engluais dans une aventure qui ne me convenait plus. J’étais à la fois frustrée et triste de ce constat. J’ai aussi eu très peur de l’accoutumance. Peur de voler à ma fille sa belle autonomie. Peur de la rendre dépendante de sa maman-toute-puissante-au-sein-illimité.

Une fois cette résolution de sevrage partiel adoptée, je me suis sentie libérée et plus forte.

J’avais trouvé un moyen extérieur simple pour soutenir cette révolution : « quand la lumière est éteinte, on dort, quand il fait jour, tu peux téter ». Mais les habitudes ont la vie dure… la nuit où mon voisin a allumé sa lumière à 3 heures du matin, j’ai entendu, mi-amusée mi-dépitée, un victorieux « il fait jour, on peut téter ! ».

Les interruptions nocturnes n’ont pas diminué magiquement, au contraire : pendant une période j’ai encore moins dormi que lorsque j’allaitais. Je proposais à présent à chaque réveil de ma fille, au choix et à volonté, de l’eau, une caresse, une chanson, un câlin, ou simplement l’écoute de sa frustration gigantesque. Petit à petit, et à mon grand soulagement, ma fille a trouvé ses ressources pour se rendormir sans le sein, et moi les miennes, pour sortir de la culpabilité de sevrer mon enfant. J’ai même éprouvé une certaine fierté de m’être offert ce grand oui, celui de m’apporter un peu de répit. Et j’ai savouré la légèreté de mon corps aux contours retrouvés.

J’ai continué d’allaiter ma fille aînée la journée, pendant près d’un an, au rythme qui nous convenait, jusqu’au jour où au petit déjeuner, de but en blanc, elle m’a suggéré joyeusement « dis maman, si on arrêtait le sein ? ». Elle avait eu sa dose lactée, et elle était capable de s’en passer désormais. Elle prenait son envol, de son plein gré. Je l’avais sevrée de nuit, elle s’était sevrée de jour. De mon côté, j’avais eu ma dose aussi, depuis un bon moment d’ailleurs. De nouveau enceinte de quelques mois, mes seins sensibles rendaient chaque tétée inconfortable, voire douloureuse. Et pourtant je tenais à donner à ma fille la responsabilité de la fin de son allaitement. Sans doute un peu à mes dépens.

J’ai amorcé le sevrage de nuit de ma seconde fille il y a quelques mois, déterminée et flexible. Lors d’un de ses gros rhumes, j’ai préféré assouplir ma décision, dans un souci d’efficacité pour moi et de bien-être pour elle.

Est-ce que je patienterai jusqu’au sevrage naturel de jour, comme je l’ai fait pour mon aînée ? Je ne sais pas. En tous cas, je reste attentive à ses besoins et aux miens, et je fais le vœu que nous parviendrons à inventer, ensemble, le sevrage sur-mesure qui sera doux pour nous deux.

La fin d’un allaitement long

Mon allaitement a duré très exactement 3 ans. C’est moi qui ai décidé de l’arrêter et j’ai accompagné mon petit vers le sevrage. Mais cela ne m’empêche pas d’être triste, de ressentir un manque et de la nostalgie pour cette période si particulière et en même temps si naturelle.

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L’allaitement long, pourquoi, comment ?

Depuis presque 20 ans, j’offre aux mères du soutien, de l’information autour de l’allaitement maternel. Bien sûr, un allaitement qui se passe au mieux donne à la mère de la confiance en elle (et son bébé) et augmente de façon palpable son envie de continuer cet allaitement.

Mais à partir de quand peut-on se considérer « en allaitement long » ? Après la reprise du travail ? A 3 mois ? A 6 mois ? A 1 an ? Plus tard ? Jusqu’au sevrage naturel ?

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Allaitement et prévention de l’obésité : les mécanismes mis en jeu (Fin)

Comme nous l’avions vu précédemment, une association entre l’allaitement maternel et une moindre prévalence du surpoids et de l’obésité à moyen et long terme est observée : l’OMS précise néanmoins qu’il existe de nombreux facteurs confondants dans les études d’observation qui rendent difficile la conclusion quant au rôle exclusif de l’allaitement sur cet aspect.

Pour tenter d’y voir encore plus clair, il peut être intéressant de comprendre quels mécanismes sous-jacents permettraient d’expliquer l’effet protecteur de l’allaitement.

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Mon bébé souffre de dysoralité

L’équipe de rédaction du blog allaitement a recueilli le témoignage de Sonia, maman d’une petite fille qui présente une dysoralité. Cette maman a mené un véritable combat pour sauver son allaitement et permettre à son bébé de vivre. Après une première grossesse heureuse, la seconde a été tout à fait différente, jalonnée de nombreux défis et de fatigue. Son bébé est né avec un retard de croissance in utero et elles ont passé une longue semaine de surveillance en néonatalogie avant de rentrer chez elles. Dès la naissance, la petite a eu des difficultés à prendre le sein. Sonia a connu de nombreuses complications liées au problème de succion de son bébé dont les origines étaient le frein de lèvre supérieure de type 2 et le frein de langue sous muqueux de type 4.

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Histoire de ᶦᶦbouts de seinᶦᶦ et allaitement long… si si : c’est possible ! [la suite]

Vous qui lisez régulièrement le blog allaitement, peut-être vous souvenez-vous de l’histoire de Cathy *et de sa fille Manon* ? Pour résumer, après une grossesse et un accouchement difficiles, Cathy a rencontré des problèmes au démarrage de son allaitement. Le personnel de la maternité lui a conseillé d’utiliser un « bout de sein », qu’elle n’a jamais pu supprimer, Manon s’étant habituée à téter avec. Cathy a loué un tire-lait. Le modèle qui lui avait été proposé date de plus de 30 ans et elle n’extrayait que quelques gouttes de lait au départ. Grâce à une consultante en lactation, elle a changé de tire-lait et a réussi une relactation. Au final, elle a tout de même allaité 5 ans !

Elle a souhaité nous raconter quelques détails supplémentaires de son histoire et notamment les obstacles qu’elle a surmontés parce qu’elle estime que cela peut sans doute aider certaines d’entre vous à dépasser ces mêmes difficultés.

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Science, maternage et bienveillance

 Depuis quelques années, j’accompagne les mamans en les écoutant et en mettant en avant le besoin de proximité pour favoriser l’allaitement souhaité.

Découvrir et comprendre le fonctionnement des seins oriente sur d’autres façons de fonctionner chez les humains.

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Allaitement et risques de caries dentaires

Les caries dentaires constituent un problème sanitaire touchant entre 60 et 90% des enfants en âge scolaire : elles peuvent entraîner des douleurs et infections potentiellement handicapantes. Or, on l’a évoqué dans un article précédent : le lait humain est particulièrement riche en sucres.  Beaucoup de dentistes et de mamans s’interrogent donc : les uns mettent en gardent, recommandent parfois d’éviter l’allaitement long (comprendre au-delà de 6 mois) et les autres ne savent plus quoi penser. Quid par exemple de la préconisation OMS de poursuivre l’allaitement jusqu’aux deux ans de l’enfant ? Fait-on prendre un risque à la santé dentaire de nos enfants ? Le sujet reste très controversé.
Que disent les études scientifiques sur le sujet ? A-t-on des arguments biologiques permettant d’évaluer un risque accru de caries dentaires lors d’un allaitement long ?

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Histoire de «bouts de sein» et allaitement long… si si: c’est possible !

C’est l’histoire de Cathy* et de Manon*… Après une grossesse et un accouchement difficiles, Cathy est heureuse d’accueillir sa fille Manon. Les premières 24 heures, le nouveau-né dort puis, lors de la deuxième nuit, ne fait que pleurer, ne tète pas. La fameuse « nuit de la java », pense Cathy qui est épuisée et a les seins très durs. A 3 heures du matin, le personnel de la maternité prend alors en charge le bébé. Cathy s’endort d’épuisement. Le lendemain, Manon dort à nouveau à poings fermés. La maman met son bébé en peau à peau et Manon essaie alors de téter mais n’arrive pas à saisir le mamelon. Les soignantes conseillent alors à Cathy d’utiliser un « bout de sein » en silicone. Au 4ème jour, Manon a une courbe de poids descendante mais le pédiatre autorise tout de même la sortie de l’hôpital demandant de revenir 2 jours plus tard pour que le bébé soit pesé.

A domicile, Cathy a loué un tire-lait, mais c’est un modèle qui a plus de 30 ans et elle n’extrait que quelques gouttes de lait. Manon tète avec le « bout de sein » mais, au bout de 2 jours, elle n’a presque pas pris de poids. Cathy décide alors de consulter une spécialiste de l’allaitement. Celle-ci lui explique qu’il faut faire une relactation. Elle lui prescrit un tire-lait adapté et lui donne les conseils nécessaires. Au début, Cathy tire très peu de lait (5ml à chaque sein). Puis, de plus en plus. Elle complète Manon avec ce lait tiré à l’aide d’un DAL c’est un dispositif d’aide à la lactation. Le nourrisson reprend du poids doucement. La consultante en lactation tente à plusieurs reprises, avec la maman, de faire téter Manon sans « bout de sein ». Mais c’est impossible. Le bébé semble s’être habitué à téter de cette manière.

Cathy est extrêmement fatiguée. La relactation n’est pas facile et cela lui prend beaucoup de temps. Pourtant elle tient bon pour son bébé, elle veut réussir son allaitement coûte que coûte. Elle a un projet d’allaitement long, 6 mois en exclusif et au moins jusqu’à 2 ans. Elle s’est renseignée durant sa grossesse et suit les conseils donnés par l’OMS. Elle télécharge également les courbes de poids des bébés allaités sur le site de l’OMS. Son épisiotomie la fait souffrir, elle mange debout, en allaitant, dort très peu car elle suit les rythmes de son bébé qui tète souvent et fait des micros siestes (jour et nuit).

« Comment vais-je tenir ? », se demande-t-elle. Heureusement, son mari a trouvé sa place et s’occupe de toutes les tâches ménagères ainsi que des courses et des repas, malgré son travail posté. Il fait du peau à peau pour que sa femme puisse un peu se reposer et tirer son lait. Cathy a un cercle d’amies et une mère qui la réconfortent. Une puéricultrice de la PMI vient régulièrement soutenir la petite famille qui rencontre également la consultante en lactation tous les 2 jours au début. Les consultations peuvent s’espacer quand Manon reprend du poids.

Tout se met petit à petit en place. A 6 mois, Manon commence à avoir une alimentation diversifiée. C’est une petite très éveillée qui aime être en portage, tout contre sa maman. Cathy a lâché prise et n’essaie plus d’enlever le « bout de sein » étant donné que Manon prend bien du poids.

Le temps passe… l’objectif de la mère est atteint : la fillette a 2 ans et est toujours allaitée.

 

Le temps passe encore, Manon à 3 ans. Elle tète matin et soir, dans sa chambre, au calme.

Puis elle a 4 ans, elle continue à téter toujours avec les « bouts de sein » à l’abri des personnes qui interrogent sa maman : « tu l’allaites encore ? ». Manon a bien compris qu’il ne fallait pas demander à téter quand il y a des gens, que c’est mieux dans son lit quand elle se réveille ou le soir pour s’endormir.

 

C’est quand elle a 5 ans que sa mère (suite à la prise nécessaire d’un médicament contre-indiqué avec l’allaitement et ayant fait la part des choses) doit la sevrer. Cathy l’endort alors durant quelques temps dans ses bras pour que cela se fasse en douceur et pour garder ce contact.

Cathy est fière de son allaitement, fière d’avoir tenu bon. Elle est certaine d’avoir donné le meilleur à son enfant, « sûre que cela valait le coup », dit-elle.

Manon a neuf ans aujourd’hui et Cathy se souvient :

« Ma fille n’a pas eu de gastroentérite, pas d’otite, ni de bronchiolite. Il y a un lien fort entre nous, une grande complicité. Parfois, elle voudrait encore téter car elle en garde un souvenir apaisant ».

Manon a toujours été sous surveillance médicale pour éviter une prise de poids faible, conséquence de l’utilisation ” des bouts de seins”.

*pour préserver l’anonymat, les prénoms ont été modifiés

[Auteure] : Carole

[Biographie] : Carole est puéricultrice. Elle est titulaire d’un DIULHAM (Diplôme Inter Universitaire en Lactation Humaine et Allaitement Maternel).

 

Regards croisés sur l’allaitement et la notion d’attachement

L’équipe de rédaction du blog allaitement a sollicité deux femmes pour connaître leur point de vue sur l’allaitement et la notion d’attachement. La première, Suzanne Gambin s’exprime sur son ressenti vis à vis de son expérience de mère. La seconde, Carole, est puéricultrice, spécialiste certifiée en allaitement maternel. Elle nous apporte sa vision appuyée sur les données de la science.

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Le tire- lait et Magalie

Aujourd’hui, j’aimerai partager avec vous l’histoire de Magalie et Marie.

Magalie a su tard qu’elle portait un enfant, elle était déjà enceinte de sept mois. Elle attendait ce moment depuis cinq ans et désespérait presque de pouvoir tomber enceinte.

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Un autre regard sur l’allaitement en vacances

Et voici le moment tant attendu des résultats du grand concours d’été : « Allaiter en vacances ».

Merci à toutes celles qui ont participé, le choix a été difficile.

Mais voici les grandes gagnantes élues par toute l’équipe de de Grandir Nature :

Premier prix : Bérengère T. avec son récit sur les vacances à la montagne, gagne l’écharpe Fil-Up.

Second prix : Perrine V., les vacances à la mer, gagne le soutien-gorge

Troisième prix : Séverine P., et son bébé globe-trotter, gagne le kit allaitement.

Encore bravo à toutes pour vos témoignages et vos photos. Place maintenant au récit de Bérengère.

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Une maman déterminée à allaiter malgré les difficultés

Voici le témoignage bouleversant d’une maman qui nous a écrit son histoire spontanément lors du retour de son tire-lait. Une fois de plus, ce qui ressort, c’est l’importance du soutien, autant des professionnels que de l’entourage, car l’allaitement, c’est comme la vie, ce n’est pas toujours simple… Même si un premier allaitement s’est très bien passé, les suivants peuvent être difficiles, et il faut alors trouver la bonne personne pour nous aider. Mais que de joie ensuite, lorsque les obstacles sont passés. Joie d’avoir réussi ensemble, et santé pour le bébé, car souvent, plus il y a de problèmes, plus le bébé a besoin d’être allaité. Et pour la femme, c’est une étape importante dans sa vie à elle : elle a grandi et mûri au cours de ces difficultés, elle s’est construite et a affirmé sa personnalité.

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Le co-allaitement, si vous en avez envie, foncez!

Vous souvenez-vous que nous avions laissé Tatiana juste avant son accouchement? Elle partait à la maternité en donnant une dernière tétée à Gabin.

L’accouchement s’est bien passé, elle est très vite rentrée chez elle, avec cette idée qui trottait dans sa tête : comment allait se passer l’allaitement à présent?

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